Il y a déjà presque quinze ans, le PDG de Microsoft, Steve Ballmer, nous expliquait que la frontière entre la télévision et l’ordinateur était en train de s’abolir. Aujourd’hui les délimitations s’effacent avec les différents usages. Cela ouvre la voie à une porosité totale entre les écrans, des contenus devenus liquides pour satisfaire nos publics et sur laquelle travaillent sans cesse nos éditeurs.

Avec la multiplication des « jardins clos » et les nouvelles exigences de confidentialité, la gestion des données first-party devient essentielle pour les annonceurs. Privés d’un accès simple aux données tierces, ils capitalisent sur leurs propres données clients pour atteindre leurs audiences, dans le respect de la vie privée des consommateurs.